Le château Pichon Longueville Comtesse de Lalande, à Pauillac en Gironde, utilise deux pulvérisateurs confinés pour vignes étroites de la marque Dagnaud, parmi sa flotte de sept appareils. Ceux-ci viennent en remplacement de pulvérisateurs avec des rampes face par face à jet porté. « Nous avons rentré le premier appareil avec panneaux récupérateurs en 2017, puis le second en 2020, explique Julien Benquet, chef de culture du domaine. Nous avions deux objectifs en investissant dans ce type de machine : réduire les ZNT avec certains produits grâce à un matériel homologué pour celles-ci, et...

Responsable technique du Château Minuty, Sébastien Gastinel utilise des filets d’ombrage pour protéger les jeunes grenaches et les blancs des coups de soleil. Une technique qu’il estime efficace et qui pourrait bien s’avérer de plus en plus nécessaire.

Avec 2 752 heures d’ensoleillement par an (normale 1991-2020 au Luc), la Provence fait partie des régions françaises les plus ensoleillées. « Ici, nous avons beaucoup de soleil, avec un ciel sans un nuage pendant plusieurs mois l’été », résume Sébastien Gastinel, responsable technique du Château Minuty, sur la presqu’île de Saint-Tropez. Des...

Le constructeur Antonio Carraro exposera ses nouveaux modèles au Salon Eima International, à Bologne (Italie), du 9 au 13 novembre 2022. Un an après la présentation à l'EIMA 2021 du modèle à châssis articulé SRX Hybrid diesel-électrique doté d'un moteur thermique de 55 kW associé à un moteur électrique de 20 kW pour un total de 75 kW (équivalent à 102 CV), Antonio Carraro présentera en avant-première son nouveau véhicule à propulsion full-electric : le modèle eSP, un véhicule 100 % électrique conçu pour l'entretien des espaces urbains, dérivant du modèle SuperPark de la production AC actuelle.

Le Tigre 3800 (en photo) est un tracteur à 4 roues égales doté d'un moteur Yanmar de 25,7 CV Stage 5, polyvalent pour la gestion de petits terrains agricoles, potagers, serres, pépinières, mais aussi pour les parcs, les installations sportives, les espaces municipaux. Le modèle exposé à l'EIMA 2022 représente une configuration s'adressant aux pépiniéristes qui demandent un tracteur très étroit (largeur extérieure des roues minimale de 990 mm), stable sur les terrains irréguliers, avec une grande traction et une force de levage élevée.

Les tracteurs de la nouvelle série Cento sont équipés d'un moteur Kubota de 73,6 CV, Stage 5. Unmoteur de 3 769 cm, à injection directe, 4 cylindres, suralimenté, 16 soupapes, qui garantit le maximum de puissance et de couple avec une élasticité d'accélération stupéfiante. Le TGF 8900 CENTO est un modèle unidirectionnel à position super abaissée, avec des roues arrière surdimensionnées. Puissant et compact, il peut travailler dans les vergers en Y, les vignobles en treille et les serres, en pente transversale, dans les rangées en courbes de niveau ou transversales.

Enfin, Antonio Carraro présentera le tout premier et le seul modèle sur le marché : un quadrichenillé à cabine, articulé, réversible, à transmission hydrostatique. Disponible en deux motorisations de 73,2 CV Stage 5 et 96,7 CV 3B pour le marché italien. Avec une largeur minimale de 1 300 mm, équipé d'une transmission hydrostatique sur un châssis articulé, il est capable de hautes performances sur le terrain, avec un compactage minimal du sol, d'excellentes performances dans les travaux en pente verticale ou latérale, dans les sols glissants, dans la boue, dans le sable, avance le constructeur.

Une nouvelle méthode de pulvérisation fait son apparition dans les vignes, avec le pulvérisateur Lane System de la société Teknika Engineering. L’idée se veut totalement novatrice : créer un tunnel, avec un flux d’air totalement maîtrisé, dans lequel la vigne va passer pour recevoir le traitement. À la clé : un gain de qualité de traitement, et donc des économies de produits qui devraient être possibles. C'est également une façon totalement inédite de concevoir un pulvérisateur, puisque celui-ci ne reçoit plus de cardan de prise de force, par exemple.

De loin, le pulvérisateur Lane...

Le constructeur Alpego complète sa gamme de broyeurs viticoles. Le nouveau broyeur TB2 a été dessiné sans angles vifs et avec des carters et boulons profilés pour permettre à la végétation de glisser sur l’ensemble de la machine et préserver les plants. Les TB2 intègrent une chambre de broyage à volume variable permettant de moduler le retour de résidus dans le rotor et d'obtenir le meilleur compromis entre qualité d’affinage et puissance requise, selon Alpego.

De série, les rouleaux de terrage des TB2 sont équipés des nouveaux paliers Longlife autolubrifiants sans graisseurs.

Broyeurs disponibles en plusieurs largeurs : 1 mètre, 1,6 mètre, 1,8 mètre et 2 mètres.

L'entreprise italienne Maschio gaspardo a annoncé lors du salon Sima le développement d'un robot viticole pour appliquer des rayons UV-C. Icaro X4 sera, "le premier robot hybride au monde pour la prévention des maladies fongiques telles que le mildiou, l'oïdium et le botrytis, typiques des vignobles, en profitant de la puissance des rayons ultraviolets UV-C, en toute sécurité pour les personnes et l'environnement grâce à la navigation autonome de pointe et à ses capteurs de détection humaine. En plus de la réduction drastique des produits chimiques en viticulture, ce robot réduit les émissions de CO₂ grâce à un moteur avec système hybride intégré. Même les coûts fixes de l'opérateur chargé de conduire un système traditionnel sont réduits grâce à la conduite autonome intelligente".

Le constructeur Grégoire renouvelle sa gamme de machines à vendanger traînées. La GT3 se dote d’une multitude d’innovations pratiques, de la conduite au nettoyage, pour reprendre les standards des automotrices de la marque.

Sept ans après le lancement de la machine à vendanger tractée G3, Grégoire modernise son offre premium et lance la GT3.

Cette machine est adaptée aux vignobles à partir de 1,50 m de largeur de plantation. Elle est dotée de deux bennes de 2 000 litres, soit en standard un gain de capacité de 800 litres. Le dessin revisité des bennes, plus arrondi, facilite le vidage...

La chambre d’agriculture de Côte-d’Or a investi dans un réseau d’une centaine de stations météo connectées. D’abord axés sur la gestion des maladies et des ravageurs, ces outils sont rapidement devenus incontournables pour anticiper le risque de gel. Les viticulteurs bénéficient ainsi de davantage de finesse dans leur prise de décision pour le déclenchement d’outils de lutte contre le gel.

Pour anticiper au mieux le déclenchement des outils de lutte contre le gel, la chambre d’agriculture de Côte-d’Or profite de son réseau de stations météo connectées, disséminé sur tout le département....

Optimisation de la gestion de la ressource en eau ; adaptation au changement climatique ; et réduction de la consommation énergétique et production d’énergie renouvelable. Voila les trois thématiques retenues dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI), annoncé au Sima, et dont les contours viennent d’être dévoilés par le Gouvernement pour soutenir le secteur des agroéquipements dans le cadre de France 2030. Ce plan doté de 2,3 milliards d’euros dédié aux transitions agricoles et alimentaires va consacrer 400 millions au déploiement d’agroéquipements innovants.

L’AMI, opéré par Bpifrance, doit identifier les matériels, solutions et équipements les plus innovants pour répondre aux enjeux de l’agriculture de demain.

En parallèle, un guichet qui sera opéré par FranceAgriMer pour soutenir les agriculteurs dans leurs projets d’investissements en aidant financièrement à acquérir les matériels innovants sélectionnés dans le cadre de l’AMI. Les bénéficiaires auront deux ans pour acquérir le matériel entre le devis et la facture. D’autres thématiques suivront, pour évoluer en fonction des besoins et des priorités : sur la substitution des intrants chimiques et de synthèse, la réduction des gaz à effet de serre et des polluants atmosphériques, la préservation de la biodiversité, la gestion des déchets, l’économie circulaire, l’amélioration du bien-être animal, l’amélioration des conditions de travail, la réduction de la pénibilité du travail, précise le ministère.

Cet appel à manifestation d’intérêt est ouvert jusqu’au vendredi 15 septembre 2023 à 12h00. Des relèves sont prévues le jeudi 5 janvier 2023 (12h), jeudi 6 avril 2023 (12h) et vendredi 15 septembre 2023 (12h).

Exxact Robotics du groupe Exel Industries expérimente une version à l’hydrogène pour son robot viticole Traxx. Avec cette technologie, l’entreprise champenoise souhaite décarboner les activités viticoles mais aussi proposer une machine légère capable de rentrer dans les parcelles quelque soient les conditions pédoclimatiques, « ce qui n’est pas possible avec une technologie reposant uniquement sur des batteries », estime Colin Chaballier, d’Exxact Robotics.

Pour le prototype Traxx Concept H2, Exxact Robotics s’est associé à l’entreprise Dintec qui apporte ses compétences sur la pile à combustible, le stockage de l’hydrogène dans le robot et le contrôle commande.

Des essais réels en vigne seront réalisés dès la saison 2023, avec les premiers prototypes alimentés en hydrogène vert.

Nouveauté de l’automne 2022 de l’entreprise Sotextho, dans le Tarn : des manchons biodégradables en laine de moutons pour protéger les plants de vigne, commercialisés sous le nom Thorelaine.

Utilisable en agriculture biologique, la laine a un effet isolant qui permet de gagner 15°C par rapport à du plastique les jours de grand soleil. « Mesurant 12 cm de diamètre par 40 ou 48 cm de haut, ces manchons sont faciles à mettre en œuvre grâce à leur couture, et tiennent avec des marquants en bois ou des fers en U », précise Alice Reumaux, responsable technique viticulture Sotextho.

Les manchons Thorelaine restent en place trois ans avant de se biodégrader en apportant au sol 15% d’azote et 46% de carbone. La laine a une odeur qui éloigne les chevreuils naturellement et les escargots. Une version en 60 cm et 120 cm existe aussi pour les arbres.

Coût : 0.64 € HT à 0.73 € HT hors transport pour un manchon suivant taille et quantité.

Depuis le début de l’année 2021, la régie de Territoire du Libournais LibRT a adopté un nouveau dispositif pour le travail des 4,3 ha de vignes de l’association. Il s’agit des harnais de posture Hapo de la marque Ergosanté. 

« Dans l’association, nous réfléchissons beaucoup à l’attractivité des métiers. Ceux de la vigne n’attirent pas nos salariés. Trois freins ont été identifiés : l’exposition aux intrants, la saisonnalité du travail et la pénibilité musculosquelettique. Des réponses ont été apportées en conséquence. Les vignes sont conduites en bio, nous faisons des contrats à l’année en proposant des travaux viticoles complétés par une activité espace vert ou nettoyage. Pour la pénibilité, nos recherches nous ont conduits à expérimenter le harnais de posture Hapo d’Ergosanté, explique Didier Dubreuilh, directeur de LibRT. Nous l’avons testé une journée de taille. Moi qui suis sensible au mal de dos, j’ai apprécié l’aide du harnais. Les salariés testeurs aussi. Le harnais se met facilement, en moins de 30 secondes quand on a pris le coup de main. Les réglages sont faciles à faire. Finalement, deux exemplaires ont été achetés, à 1 500 euros l’unité. »

« On manque de recul pour évaluer la solidité de cet équipement et les effets sur les utilisateurs, continue Didier Dubreuilh, mais je pense que les investissements pour réduire la pénibilité vont devenir la norme. Les employeurs de main-d’œuvre viticole n’auront pas le choix. De notre côté, on regarde aussi les sièges électriques. Nous avons testé le modèle Rocky One Mountain sur lequel l’utilisateur est assis face au rang. Dans nos rangées enherbées, il avançait bien. Alterner les deux solutions, harnais de posture et siège, est une piste. »

Depuis le début de l’année 2021, la régie de Territoire du Libournais LibRT a adopté un nouveau dispositif pour le travail des 4,3 ha de vignes de l’association. Il s’agit des harnais de posture Hapo de la marque Ergosanté. 

« Dans l’association, nous réfléchissons beaucoup à l’attractivité des métiers. Ceux de la vigne n’attirent pas nos salariés. Trois freins ont été identifiés : l’exposition aux intrants, la saisonnalité du travail et la pénibilité musculosquelettique. Des réponses ont été apportées en conséquence. Les vignes sont conduites en bio, nous faisons des contrats à l’année en proposant des travaux viticoles complétés par une activité espace vert ou nettoyage. Pour la pénibilité, nos recherches nous ont conduits à expérimenter le harnais de posture Hapo d’Ergosanté, explique Didier Dubreuilh, directeur de LibRT. Nous l’avons testé une journée de taille. Moi qui suis sensible au mal de dos, j’ai apprécié l’aide du harnais. Les salariés testeurs aussi. Le harnais se met facilement, en moins de 30 secondes quand on a pris le coup de main. Les réglages sont faciles à faire. Finalement, deux exemplaires ont été achetés, à 1 500 euros l’unité. »

« On manque de recul pour évaluer la solidité de cet équipement et les effets sur les utilisateurs, continue Didier Dubreuilh, mais je pense que les investissements pour réduire la pénibilité vont devenir la norme. Les employeurs de main-d’œuvre viticole n’auront pas le choix. De notre côté, on regarde aussi les sièges électriques. Nous avons testé le modèle Rocky One Mountain sur lequel l’utilisateur est assis face au rang. Dans nos rangées enherbées, il avançait bien. Alterner les deux solutions, harnais de posture et siège, est une piste. »

La société de services bordelaise Banton Lauret emploie presque 200 salariés en CDI. « Les travaux en vigne et en cave sont des métiers durs, générateurs de troubles musculosquelettiques et parfois d’accidents du travail, rappelle Sophie Lauret. Le mal de dos est un problème récurrent dans les équipes. Les exosquelettes qui arrivent sur le marché pourraient nous apporter une solution. Nous testons donc ces équipements. »En début d’année, le harnais de posture Hapo d’Ergosanté a été expérimenté auprès de salariés réalisant le nettoyage et la manutention de barriques et sur des travaux de taille. « Dans la première situation, les deux salariés testeurs ont apprécié le harnais qui incite à adopter de bonnes postures, mais ils se sentaient gênés dans leurs mouvements pour bouger les barriques. Dans les vignes, ce sont huit personnes, hommes et femmes, qui ont testé le harnais. Sur des plages de deux heures, les retours sont bons. »

Bientôt, c’est le harnais Lift Suit d’Auxivo qui va être mis à l’épreuve par les équipes Banton Lauret. « Nous souhaitons avoir une vision exhaustive des offres pour cerner les avantages et les inconvénients des systèmes proposés. Pour nous qui employons beaucoup de salariés, une de nos attentes est d’avoir des harnais relativement universels qui puissent équiper une large palette de morphologies. »

La société Banton Lauret mène ses réflexions en partenariat avec la MSA. « Avec eux, nous souhaitons réfléchir sur les bonnes modalités d’usage des exosquelettes », indique Sophie Lauret.

La société ExoViti propose un exosquelette passif "made in France" qui soutient le dos pour les travaux d'entretien de la vigne.
Il est conçu pour soulager les lombaires lors de tâches nécessitant de rester penché en avant (taille, liage, ébourgeonnage, épamprage, désherbage, vendange). En se penchant en avant, l'utilisateur comprime deux ressorts qui vont assister les muscles dorsaux lors du mouvement retour.

Prix: 1500 €

Pour en savoir plus que les exosquelettes type harnais dorsaux, vous pouvez relire nos articles à ce sujet:

• Fournisseurs et viticulteurs: Un intérêt croissant pour les exosquelettes dans les vignes
• Santé au travail: Les exosquelettes sont aussi présents dans les vignes
• Retour d'expérience. Deux harnais de posture Hapo dans les vignes de LibRT

• Le prestataire bordelais Banton Lauret teste les exosquelettes dorsaux

New Holland agriculture, marque de CNH Industrial N.V., vient d’annoncer que son « Straddle tractor concept » a remporté une médaille d’or au German design award 2023 dans la catégorie des produits design (à côté de l’architecture, des communications, et de la mode et du textile). Ce prix a été décerné par le Conseil allemand du design.

Dévoilé initialement lors du Sitevi 2021, ce tracteur adapté aux vignobles étroits a été développé par New Holland agriculture et Pininfarina, une entreprise de design internationale.

« Le design futuriste développé par Pininfarina allie sécurité, confort et technologie : il s'inspire de la forme d'une flute de champagne - forme allongée, plus large en haut et plus étroit en bas - en hommage aux vignerons des régions viticoles de grands crus, telles que la Champagne, le Médoc et la Bourgogne. La cabine se caractérise par sa vitre enveloppante, qui offre à l'utilisateur une visibilité exceptionnelle sur les vignes et les alentours et elle est inclinée dans le sens de la marche, ce qui accentue encore le dynamisme du design. (…) Le concept est prêt pour la traction électrique », explique la marque.

L’Axema vient de délivrer les chiffres des immatriculations de tracteurs pour l’année 2022.

Pour l’ensemble des tracteurs spécialisés, vignes et vergers, soit  3751 tracteurs neufs immatriculés en 2022, le top 5 des marques est constitué de:

1. FENDT  : 21% de parts de marché
2. NEW HOLLAND :  13,7% de parts de marché
3. KUBOTA : 9,7% de parts de marché
4. LANDINI : 8,7% de parts de marché
5. SAME : 7,2% de parts de marché

Fendt reprend, en 2022, le fauteuil de leader à New Holland, grâce à une progression de +17% de ses ventes de tracteurs vignes et vergers. Fendt (+5,2 pts), Kubota (+1,8 pt) et Claas (+1,6 pt) réalisent les trois plus fortes progressions de parts de marché en 2022.

Grâce à une forte performance dans les tracteurs vignes et vergers, Fendt ravit la deuxième position à New Holland, qui glisse au troisième rang. Les trois plus fortes progressions en 2022 sont à porter au crédit de John Deere (+1,8 point de parts de marché), Massey Ferguson (+1,7 point) et Valtra (+1,2 point).

Sur les tracteurs standards vignes et vergers, soit 28 822 tracteurs neufs immatriculés en 2022, le top 5 des marques est constitué de:

1. John Deere (6 401 tracteurs immatriculés, 22,2% de parts de marché),
2. Fendt (4 024 tracteurs immatriculés, 14% de parts de marché),
3. New Holland (3 872 tracteurs immatriculés, 13,4% de parts de marché),
4. Claas (2 938 tracteurs immatriculés, 10,2% de parts de marché)
5. Massey Ferguson (2 916 tracteurs immatriculés, 10,1% de parts de marché).

Entre 2013 et 2017, environ mille accidents ont eu lieu sur la route impliquant des tracteurs, provoquant la mort de 44 conducteurs ou passagers de tracteurs, selon l'Observatoire national de la sécurité routière. Une protection est pourtant facile à mettre en œuvre : boucler sa ceinture de sécurité pour éviter d’être éjecté hors de la cabine ou projeté à grande vitesse sur la colonne de direction. Rappelons que le port de la ceinture de sécurité est obligatoire sur la route, lorsque le tracteur en est équipé. Mais elle est aussi recommandée lors des travaux dans les parcelles. La MSA aide techniquement et/ou financièrement les agriculteurs et employeurs agricoles à sécuriser leurs engins.

Voir le crash test d’un tracteur à 30 km/h : https://youtu.be/QcYPI0voWZU

Contactez le service santé-sécurité au travail de votre MSA : https://ssa.msa.fr/votre-msa-en-region/

Selon les deux acteurs principaux du marché Infaco et Pellenc, l’achat de sécateurs en leasing n’intéresserait pas tellement le monde viticole pour le moment. La location semble, en revanche, attirer un peu plus d’utilisateurs.

La location, le leasing et l’achat font partie des trois principales options qui s’offrent aux viticulteurs voulant disposer d’un sécateur neuf de la marque Pellenc ou Infaco. Depuis 2014, l’entreprise vauclusienne Pellenc propose une formule de leasing allant de 13 à 48 mois sur tous ses outils à batterie et son matériel pour les espaces verts. À la fin du contrat,...

La cave des vignerons de Tutiac a mis en place en 2022 un cercle d'échanges de matériel pour ses adhérents. Le dispositif a démarré avec les bennes de vendanges et les équipements de travail du sol, puis sera progressivement étendu.

La cave des vignerons de Tutiac a monté début 2022 un cercle d’échanges de matériel pour ses adhérents. « L’idée a germé notamment par rapport aux matériels de travail du sol. Pour réduire l’emploi du glyphosate, nos adhérents vont en majorité basculer sur le travail du sol. Or investir dans ce type de matériel n’est pas forcément économiquement intéressant pour...