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Gerber H&M facilite la complantation à la main avec l’assistance d’une replanteuse tractée

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Machinisme

Gerber H&M facilite la complantation à la main avec l’assistance d’une replanteuse tractée

Fini le travail de complantation à la pioche. Hubert Gerber, vigneron alsacien et équipementier, propose un outil tracté, adapté à la replantation de jeunes pieds de vigne. « Le principe consiste à engager un coutre sur le rang par translation latérale, puis à l’enfoncer en avançant le tracteur. Au bout du coutre, il y a une dent de 4 cm de large, ouvrant le sol sur 30 cm de profondeur. La dent est associée à deux ailettes qui maintiennent l’espacement du sillon, et dans lequel on introduit le plant de vigne. L’opération nécessite un chauffeur et une personne qui introduit le plant...

20/09/2018 - 12:27

44 outils de désherbage mécanique passés au grill par la FR Cuma Occitanie

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La Fédération Régionale des Cuma d’Occitanie publie ce mois-ci, un dossier technique sur les interceps, outils de désherbage mécanique de la vigne. Ce guide a pour ambition d’apporter aux viticulteurs des éléments de réflexion pour faciliter le choix des matériels adaptés à leurs besoins. 

Il s'agit d'un dossier de 23 fiches techniques présentant différents types d’outils interceps pour le travail et l’entretien du sol : lames, charrues décavaillonneuses, outils rotatifs et désherbeuses à fils. Soit 44 matériels largement présents dans le Sud-Ouest de la France.

Le dossier est téléchargeable. 

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Equipement

44 outils de désherbage mécanique passés au grill par la FR Cuma Occitanie

20/09/2018 - 16:27

Conseils pratiques pour limiter les tassements de sol en viticulture

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Sol

Conseils pratiques pour limiter les tassements de sol en viticulture

Pour réduire la compaction, Bridgestone recommande sa gamme de pneus avec carcasses renforcées qui permet de réduire la pression avec des empreintes plus larges. © Brigestone

Choix des pneus, optimisation du gonflage, passages dans de bonnes conditions. Et vous, que faites-vous pour éviter les tassements de sol dans vos vignes ? Le point avec un fabricant de pneus et un conseiller en agroéquipement.

 

On parle beaucoup des tassements de sol en grandes cultures, mais le problème est moins pris en compte en viticulture, culture pérenne plantée souvent en coteaux, dans des sols caillouteux et avec du matériel plus petit, observe Dominique Rabayrol, spécialiste agraire du secteur sud-ouest chez Bridgestone. L’impact du tassement est certes moindre qu’en production...

24/09/2018 - 16:24

TDR 250 : une tête de récolte adaptable sur tous les tracteurs GRV

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Polyvalence

TDR 250 : une tête de récolte adaptable sur tous les tracteurs GRV

GRV propose désormais une tête de récolte adaptable sur tous les tracteurs de la gamme

L'entreprise GRV présente une nouvelle tête de récolte, construite en partenariat avec T2M, et adaptable sur trois modèles de tracteur de la gamme GRV :

  • Le mono-rang Caval Vision
  • Le double rangs à 4 roues voie variable Caval Vititools
  • Les trois roues Caval 3.3 ou D4

Avec cette tête de récolte montée sur le tracteur, GRV apporte une solution globale dans l'utilisation de l'enjambeur : du travail du sol en passant par le traitement, puis les travaux sur le végétal, ajoutez maintenant la récolte, la polyvalence est totale.

Selon le constructeur, la machine à vendanger proposée s'adresse aux exploitations de taille moyenne qui recherchent de la souplesse dans leur outils de récolte.

C'est certainement une des plus petites machines à vendanger du marché mais aussi une des plus légères. Cela ne l'empêche pas d'avoir un bon rendement avec une vitesse d'avancement jusqu'à 3,5 km/h et une capacité des bennes jusqu'à 1100 litres. Le trieur est en option.

Avec une consommation de carburant maitrisé (6 l/h), GRV démontre que la récolte peut se faire avec une machine de taille et de coût raisonnable avec un impact environnementale maîtrisé.

 

25/09/2018 - 12:17

Acolyte de Boisselet : un porte-outil enjambeur dans les vignes larges

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Travail du sol

Acolyte de Boisselet : un porte-outil enjambeur dans les vignes larges

Cet article de Viti Leaders de septembre 2018 vous est proposé gratuitement et dans son intégralité. Bonne lecture ! Pour vous abonner, RV sur notre e-kiosque.

Lancé dans sa première version en 2004, le châssis Acolyte continue de se faire sa place dans les vignes larges. Contrairement aux cadres interligne travaillant sur deux demi-rangs sur deux rangs différents, le cadre enjambeur Acolyte permet d’agir simultanément un rang complet en un seul passage.« C’est particulièrement intéressant dans les vignes enherbées un rang sur deux. Pour entretenir le cavaillon, le tractoriste circule uniquement dans les rangs enherbés, là où la portance est la meilleure », explique Fabrice Dulor, directeur chez Boisselet.

Le porte-outil tracté développé par la société bourguignonne Boisselet peut recevoir tous les équipements interceps aratoires de la marque ainsi que ceux adaptés à l’entretien sous le rang des couverts végétaux.

Destiné aux vignes plantées avec un espace interrangs supérieur à 1,50 mètre, le châssis Acolyte est livré de série avec une roue extérieure motrice, l’auto-centrage par palpeurs et des capteurs assurant la correction automatique de dévers.

Acolyte peut être utilisé sur tout type de tracteur interligne d’au moins 50 chevaux grâce à sa centrale hydraulique autonome.

Sur route, le châssis se positionne dans l’axe du tracteur.

Coût :à partir de 26 000 euros HT équipé avec des lames plates interceps Cutmatic.

 

Article paru dans Viti Leaders de septembre 2018 

25/09/2018 - 12:28

Des machines à vendanger tractées qui n'ont rien à envier aux automotrices

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26/09/2018 - 17:37

Pellenc a présenté le 4 septembre sa nouvelle gamme de machines à vendanger tractées : Grapes'Line. Ici, nous pouvons voir la Grapes'Line 80 au travail dans une parcelle du Beaujolais.

La gamme compte cinq modèles, du plus simple à la plus sophistiquée. Les différences entre les modèles se situent essentiellement sur les équipements de tri de la vendange, le pilotage et les capacités des bennes.

La Grapes' Line 80 est équipée du système de tri embarqué Selectiv process et se pilote à l'aide d'un joystick et d'un écran tactile. La capacité de ses bennes atteint 2 x 1 600 l. 

Plus de détail : voir notre article complet sur cette présentation.

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Pellenc

Des machines à vendanger tractées qui n'ont rien à envier aux automotrices

Équiper son tracteur neuf ou récent d’une filtration de catégorie 4

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HONORÉ FILTRATION

Équiper son tracteur neuf ou récent d’une filtration de catégorie 4

Actuellement, lors de traitements, les cabines filtrantes de catégorie 4 sont les seules à pouvoir protéger les chauffeurs de tracteurs des aérosols, des poussières et des vapeurs de produits phytosanitaires. D’après le ministère de l’Agriculture, « beaucoup de constructeurs se contentent du niveau 2 alors que c’est le niveau 4 qui convient pour les produits phytosanitaires ».La société Honoré Filtration fournit des équipements de pressurisation homologués catégorie 4 pour les tracteurs neufs non équipés de série et les tracteurs récents de moins de quatre ans.

Prix : selon la distance de...

28/09/2018 - 16:56

Un bon treuil vigneron doit être à la fois robuste et léger

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Machinisme

Un bon treuil vigneron doit être à la fois robuste et léger

L’opérateur qui gère le treuil doit exercer une vigilance constante pour garantir la sécurité. Photos : I. Aubert/Pixel Image

Sur les 35 ha de coteaux travaillés en prestation d’entretien du sol, l’entreprise Alatache utilise du matériel de la marque Plumett. Cette entreprise suisse avait mis au point ce système d’outil guidé par treuil dans les années 1930, mais avait abandonné la fabrication par manque de demande, avec l’arrivée des désherbants de synthèse. Aujourd’hui, la société a accepté de relancer une fabrication sous réserve d’une commande groupée. L’entreprise Alatache, dont l’actionnaire majoritaire est la maison Chapoutier depuis l’an dernier, se charge de grouper les demandes. Dix exemplaires ont été...

01/10/2018 - 16:19

L'enjambeur 340 Optimum , le grand confort pour vignes étroites

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03/10/2018 - 17:00

Pellenc a présenté son nouvel enjambeur multifonction pour vignes étroites le 4 septembre 2018. Nous le voyons ici équipé de sa tête de récolte, en démonstration de vendange, sur une parcelle en Beaujolais. 

Par rapport à la version 330 qu'il remplace, l'Optimum 340 dispose d'une cabine panoramique "grand confort" et d'une ergonomie améliorée. 

Pour la tête de récolte, le constructeur vauclusien a travaillé pour conserver la compacité, tout en offrant de bonnes dimensions de travail.

Pour plus de détails, lire notre article sur cette journée de présentation. 

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Pellenc

L'enjambeur 340 Optimum , le grand confort pour vignes étroites

Le robot désherbeur en tests intensifs dans les vignes

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NAIO TECHNOLOGIE

Le robot désherbeur en tests intensifs dans les vignes

Que diriez-vous de déléguer une partie de vos tâches à un robot ? TED, le cousin du robot maraîcher Oz, nourrit de bons espoirs et pourrait vous convaincre de sauter le pas. Dans le cadre d’un partenariat avec l’Institut français du vin et de la vigne, l’entreprise Naïo Technologieséprouve le robot bineur dans les vignes de l’IFV à l’Isle-sur-Tarn.

Bientôt 16 robots de présérie dans les vignes

En parallèle des travaux menés par l’IFV, Naïo Technologies a déjà réalisé neuf partenariats avec des clients. « Ils reçoivent un produit non fini, précise Guillaume Delprat, chef de produit Robots...

05/10/2018 - 12:23

Dual air Face : un aéroconvecteur à double turbines

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Cabrol

Dual air Face : un aéroconvecteur à double turbines

Cabrol : Dual air Face, un aéroconvecteur  à double turbines. © S. Favre/ATC

Une cinquantaine d’aéroconvecteurs Dual Air Face est déjà opérationnelle dans les vignes. Pensé par les établissements Cabrol et co-conçu avec le fabricant espagnol Saher, ce pulvérisateur traîné est équipé de deux turbines ouvertes positionnées face à face avec une rotation à sens inverse. La machine est aussi équipée de convoyeurs d’air qui sont actionnés par vérins hydrauliques. « Ce dispositif permet de limiter la dérive en appuyant la bouillie sur les côtés et donc sur les rangs de vignes. De plus, le carénage est conçu pour éviter l’aspiration des feuilles, de la bouillie et des...

10/10/2018 - 11:07

Une tête intercep pour vigne étroite

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Solemat

Une tête intercep pour vigne étroite

CP : DR

La société française Solemat lance un nouvel outil interceps. Précicep possède une tête compacte adaptée pour une utilisation dans les vignobles étroits. « Il est aussi doté d’un cadre simple avec moins de tuyaux et moins d’options que nos autres modèles, précise l’entreprise basée dans le Rhône. Autre point de différence le palpeur à un capteur électrique qui permet une excellente sensibilité, même sur les jeunes plantations. C’est un outil simple et solide. »

Prix : 5 198 euros

 

Article paru dans Viti Leaders d'octobre 2018 

16/10/2018 - 12:57

Le guidage par ultrasons du tracteur Fendt 210 à l’épreuve du terrain

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Machinisme

Le guidage par ultrasons du tracteur Fendt 210 à l’épreuve du terrain

Quand l’autoguidage est activé, le chauffeur peut se concentrer sur le réglage de l’outil arrière. © S. Billaud/ATC

Cet article de Viti Leaders d'octobre 2018 vous est proposé gratuitement et dans son intégralité. Bonne lecture ! Pour vous abonner, RV sur notre e-kiosque.

 

Mi-juin en plein cœur de l’Anjou, la pluie n’épargne pas la région de Bouillé-Loretz. Après une semaine qui a vu s’accumuler près de 100 mm, les vignes de Nicolas Savarit, gérant du domaine de la Cerisaie, peuvent enfin accueillir l’essai du Fendt 210, équipé de l’option autoguidage pour l’occasion.

 

Si notre essayeur semble familier du tracteur qui arrive dans sa cour pour notre semaine d’essai, c’est normal. Nicolas Savarit possède déjà deux Fendt 208 sous son hangar. Mais notre tracteur d’essai est vraiment particulier. « C’est le premier tracteur Fendt spécialisé en France, équipé d’un système d’autoguidage par ultrason ! », nous explique Arnaud Loret, responsable régionale Fuse Technologies. « Il réalise un tour de France de démonstration depuis le début du printemps, afin de recueillir un maximum d’avis d’utilisateurs. Des vignobles de l’Alsace jusqu’au Bordelais, en passant par l’Anjou. »

 

Un guidage discret

Visuellement, les seules différences avec un tracteur classique se trouvent à l’avant du capot et sur le toit. « De chaque côté du capot, nous avons positionné une paire de capteurs ultrason, nous explique Arnaud Loret. Ils sont orientables, pour être en mesure de viser les fils ou les cèpes l’hiver, en absence de végétation, ou alors viser simplement le feuillage dès que c’est possible. Pour réussir à capter des informations fiables, les duos de capteurs doivent se situer au moins à 40 cm de la végétation, et jusqu’à 1 mètre. Si tout cela est bien respecté, le système d’autoguidage sera alors efficace de 30 m/h à 20 km/h. Mais au-delà de 12 km/h, une perte de précision peut être observée. En effet, le guidage aura une précision de l’ordre de 2 à 5 cm jusqu’à 12 km/h, selon les conditions de portance du terrain, l’adhérence du tracteur… Enfin, sur le toit, nous avons positionné une antenne GPS, afin de capter le signal Egnos qui va nous servir pour tout ce qui touche à la documentation : savoir dans quels rangs nous sommes déjà passés, extraire les cartes pour assurer une traçabilité… »

En bout de rang ou en cas de manque, le système garde le dernier cap, jusqu’à temps que l’opérateur reprenne la main ou que la végétation revienne. © S. Billaud/ATC

Si extérieurement le système s’intègre bien au tracteur, en cabine, où la place est déjà rare, le constructeur bavarois et son partenaire Readchart ont dû réussir à loger une console Muller, qui va gérer le guidage mais aussi l’enregistrement. Mais ce n’est pas tout, il faut aussi loger deux modules ECU, car le système d’autoguidage est Isobus : « Pour ce modèle de démo, nous avons préféré un système totalement amovible. Donc les deux modules ECU se retrouvent au niveau de la fenêtre droite et peuvent gêner l’installation de console ou commandes d’outils supplémentaires, confirme Arnaud Loret. Mais dans le cas d’un tracteur vendu, il sera possible de trouver une place moins gênante pour ces deux modules, nécessaires pour le système d’autoguidage, qui fonctionne en Isobus TIM : c’est le système de détection, considéré comme un outil, qui va prendre la main sur la direction. » 

 

Un test de 30 heures dans les vignes

En cabine, le tracteur reçoit une console GPS. © S. Billaud/ATC Une fois toutes ses explications digérées, l’heure est enfin venue d’atteler le Fendt 210 à l’effeuilleuse, outil qui demande un réglage de précision. Et donc qui pourrait être optimisé si le guidage du tracteur n’était plus géré par le conducteur, mais par la technologie ! Et dès les premiers tours de roues dans les vignes, Vincent Viernay, un des salariés du domaine de la Cerisaie, semble très à l’aise : « J’ai déjà travaillé en grandes cultures avec des systèmes de guidage, ça aide sans doute !, nous confirme le jeune chauffeur. Globalement, la seule différence avec le système que l’on connaît bien en grande culture, vient du fait que l’on doit penser à activer la prédisposition afin de pouvoir ensuite activer/désactiver le guidage. »À noter que lorsque la prédisposition est activée sur le tableau de bord, le tracteur se bride alors automatiquement à une vitesse maximale de 25 km/h, pour des raisons évidentes de sécurité. Parallèlement un nouveau dispositif vient alors se mettre en place pour favoriser les demi-tours en bout de rangs : jusqu’à 8 km/h, le nombre de tour de volant est divisé par deux pour aller de la butée gauche à la butée droite.

C’est une amélioration à prévoir pour Vincent Viarnet : pour activer le guidage, il faut appuyer sur un bouton sur le tableau  de bord, sous le volant. © S. Billaud/ATC Une fois cette prédisposition activée, le chauffeur doit alors simplement appuyer sur un bouton dès qu’il est dans le rang, pour lancer l’autoguidage et n’avoir plus rien à faire. « Le seul point noir du système, c’est l’emplacement de ce bouton, affirme Vincent Viernay. Il se situe sous le volant, sur le tableau de bord, donc pas facilement accessible. Ce qui est dommage, c’est que l’on peut désactiver l’autoguidage, soit en tournant le volant, soit depuis la console. Mais on ne peut pas encore l’activer depuis la console. Ce serait une bonne évolution dans les mois à venir. »

Hormis cette histoire de bouton, le chauffeur qui a eu l’occasion de tester le système pendant une trentaine d’heures semble satisfait : « Les réglages sont simples et intuitifs. J’ai ajusté une seule fois la dureté du système et après je n’avais plus à le modifier. Avec l’effeuilleuse, je travaillais à une vitesse de
4 à 6 km/h, et j’ai pu constater que le système était totalement fiable. Je n’ai jamais eu à reprendre la main pour compenser une éventuelle défaillance. Même dans les vignes où il y a des manques, le système continue d’aller droit en attendant de retrouver de la végétation sur lequel il va pouvoir reprendre des informations. Ce système est réellement performant et permet de bien régler l’outil, afin de travailler aux plus près du feuillage. Après, il faut avouer que lorsque l’outil est bien réglé, le chauffeur n’a plus rien à faire, et donc le temps peut paraître long ! » 

De chaque côté du tracteur, deux capteurs ultrasons orientables sont présents.  Ce sont eux qui vont détecter les obstacles, pour assurer  le guidage. © S. Billaud/ATC

Un calcul de rentabilité peu évident

Si le dispositif semble performant et pertinent, il ne manquait plus qu’une donnée à notre essayeur pour se faire un avis définitif sur ce dispositif : le prix !

Et l’information est tombée à la fin de l’essai : il faut compter 8 200 € pour l’ensemble ultrasons avec écran (hors main-d’œuvre pour le montage), et 10 800 € (hors main-d’œuvre) pour le système complet avec l’antenne GPS.

Pour bien fonctionner, les capteurs doivent être à au moins 40 cm de la végétation, et au maximum à 1 m. © S. Billaud/ATC« C’est la mauvaise surprise de l’essai, témoigne Nicolas Savarit. Après une semaine d’utilisation, je considère que les ultrasons seuls ne suffisent pas, il faut prendre le système complet avec l’antenne GPS, afin de pouvoir tracer sur la console les rangs où nous sommes déjà passés, ce qui pourrait être intéressant en pulvérisation de nuit par exemple. Mais au prix qui est annoncé, et en sachant que ce dispositif n’est disponible que sur des tracteurs neufs pré-équipés, cela n’est pas envisageable chez moi. Je ne vois pas comment je pourrais amortir un surcoût de l’ordre de 10 à 15 %, au moment de l’achat du tracteur. Dans nos vignes de 1,8 mètre de large, avec des tracteurs qui font 1,2 m, le chauffeur n’a pas d’autres solutions que d’aller droit, la vigne fait un couloir. Dans des vignes plus larges, ou même pour des arboriculteurs, la solution pourrait être pertinente. Mais moi, je n’arrive pas à voir comment je pourrais amortir cette solution, conclut le responsable du domaine. La solution fonctionne et est agréable, mais le prix est trop élevé pour le moment. Il faut espérer qu’il sera amené à baisser dans les années qui viennent, à l’image de ce que l’on a vu en grande culture. »

Du côté du constructeur, Olivier Leroy, responsable marketing Fendt, tient à nuancer ce coût : « Le coût de cette solution est totalement en phase avec l’autoguidage en grande culture. De plus, avec cette solution, nous atteignons une précision de type RTK, sans abonnement. »

 

 

Carte d’identité du Domaine de la Cerisaie
Nicolas Savarit, à gauche, est le gérant du domaine. Vincent Viarnet, à droite, est un des salariés. C’est lui qui a réalisé l’essentiel du travail pendant la semaine d’essai. © S. Billaud/ATC Nicolas Savarit, gérant du domaine de la Cerisaie, exploite 50 ha de vignes, sur deux sites. Le premier se situe à Bouillé-Loretz, dans les Deux-Sèvres. Le second, distant d’une dizaine de kilomètres, se situe au Puy-Notre-Dame, dans le Maine-et-Loire. Pour l’accompagner dans son travail, il peut s’appuyer sur trois salariés permanents à temps plein. Mais il fait aussi appel à un ou deux saisonniers, selon les années.

 

 

Article paru dans Viti Leaders d'octobre 2018 

22/10/2018 - 17:45

Un Vinitech centré sur les transitions écologique et numérique

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Salon

Un Vinitech centré sur les transitions écologique et numérique

Vinitech 2018

Cet article de Viti Leaders de novembre/décembre 2018 vous est proposé gratuitement et dans son intégralité. Bonne lecture ! Pour vous abonner, RV sur notre e-kiosque.

Une bonne partie de la planète viticole va converger vers Bordeaux du 20 au 22 novembre 2018, pour le prochain Vinitech. À ne pas rater cette année, les équipements distingués par les trophées de l’innovation, mais aussi de nombreuses conférences avec, en ligne de mire, l’évolution vers une viticulture toujours plus durable.

Vinitech

Les vendanges sont terminées et vous avez bien travaillé. Que diriez-vous de réfléchir à la manière de rendre l’année prochaine encore meilleure ? Peut-être les constructeurs de machines, les concepteurs de logiciels et autres fabricants de matériels de cave pourront vous aider ? Pour le savoir, direction Vinitech. Depuis 1977, le Salon bordelais présente un large panorama de l’offre d’équipements et de services en matière vitivinicole. Cette année encore, 850 exposants, représentant 1 200 marques, ont réservé leur place et seront répartis en quatre secteurs : techniques culturales (34 % de la surface du Salon), équipements de caves et de chais (38 %), embouteillage-conditionnement (22 %) et services (6 %).

Mise en avant des innovations

Pour guider votre visite, les organisateurs du Salon ont prévu de nombreuses mises en avant et sources d’inspiration. Les trophées de l’innovation, dont le palmarès est à découvrir dans notre dossier, reflètent les enjeux environnementaux et sociétaux auxquels sont confrontés les vignerons. Transitions écologique1 et numérique2, amélioration de la qualité3 et protection des personnes4 sont leurs problématiques de demain.

En parallèle, un espace Écophyto et agroécologie présentera une sélection de matériels et de pratiques à la pointe en matière de limitation des intrants : matériels de semis et de destruction des couverts, produits de biocontrôle, désherbage mécanique… Les visiteurs recherchant spécifiquement des informations sur la production biologique pourront suivre le parcours thématique bio, à l’aide d’un guide distribué à l’entrée du Salon. Un parcours dédié aux spiritueux devrait également être proposé cette année. Sous le hall 4, le Technoshow offrira la possibilité de voir une sélection de machines en démonstration sur un ring. Des séances d’essais seront organisées tous les jours pour les visiteurs (sur inscription).

Une soixantaine de conférences

Vinitech

Enfin, n’oublions pas les nombreuses possibilités de rencontres et d’échanges d’expériences. Chaque jour, vous pourrez choisir parmi une vingtaine de conférences, avec trois temps forts : viticulture biologique, vins bio et vins nature (mardi à 14 h), comment relever le défi de la transition écologique au vignoble (mercredi 9 h 30) et importance de l’amélioration du matériel végétal dans l’alternative aux pesticides (mercredi 14 h). Si la dégustation vous tente, l’IFV, le BNIC et Bordeaux sciences agro ont prévu des ateliers « Wine and spirit profiling » (sur le stand de l’IFV, hall 1). Si vous voulez mieux connaître le travail des jeunes pousses, rendez-vous sur l’espace start-up. Jeunes diplômés, demandeurs d’emploi, salariés en quête d’évolution ou dirigeants d’entreprise vont se retrouver au job dating, organisé par l’Apecita Nouvelle-Aquitaine (attention, inscription obligatoire).

L’embouteillage et le marketing ne sont pas oubliés, avec plusieurs points d’orgue : le colloque Vinipack, qui alternera présentation et tables rondes sur les dernières tendances du packaging (mercredi), la présentation des lauréats du concours « Best Wine in Box» et ceux de « Wilaaw» une compétition de création d’étiquettes destinée aux designers. De quoi trouver l’inspiration.
Irène Aubert

(1) Injection directe, robot autonome de travail du sol, logiciels de planification des traitements, d’optimisation de l’utilisation d’énergie.
(2) Systèmes de guidage de tracteur, carnet informatisé et connecté.
(3) Capteur pour mesurer les anthocyanes à la parcelle, matériels de tri de la vendange, systèmes de protection des vins contre l’oxydation.
(4) Sécateur sécurisé.

 

29/10/2018 - 17:03

"En coteaux, le travail assisté par treuil est la seule alternative aux désherbants"

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ETA Alatache

"En coteaux, le travail assisté par treuil est la seule alternative aux désherbants"

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Spécialisée dans le travail du sol par treuil, l’entreprise Alatache opère dans les pentes de la vallée du Rhône septentrionale. Un travail pénible qui nécessite du matériel robuste et des hommes endurants.

Depuis la création de l’entreprise il y a 18 ans, Alatache est spécialisée sur le travail en coteaux. « Dans les vignobles de Tain et de Crozes-Hermitage, les domaines viticoles qui valorisent bien leur production sont de plus en plus nombreux à arrêter le désherbage chimique. Pour des vignes plantées sur des terrains en pente à 30-40 %, avec une densité pouvant atteindre 10 000 pieds/ha, ni les chenillards ni les chevaux ne peuvent tirer les outils pour faire un désherbage mécanique. Le guidage des outils avec l’assistance d’un treuil est la seule solution », insiste Fabien Bergeron, ancien associé de l’entreprise, aujourd’hui installé en tant que vigneron.

Trois hommes pour un treuil

Il y a encore quelques années, rares étaient les domaines qui maintenaient cette veille technique. Désormais grâce à du matériel fabriqué et importé de Suisse, elle revient. En pratique, pour faire du bon travail, trois hommes sont nécessaires : un pour faire contrepoids sur le moteur thermique de 80 kg qui entraîne le treuil, un qui guide l’outil dans les rangs, un qui passe derrière avec une pioche. « C’est un travail très physique et assez dangereux : le treuil n’est pas fixé à un point fixe et solide. Ce sont seulement le poids du moteur, celui de l’homme assis dessus et des amarres plantées dans le sol qui permettent de s’opposer aux forces de traction exercées par le treuil sur la charrue », insiste Gamal Menacer, actuel cogérant d’Alatache.

Parfois, le sol est trop dur ou la place manque en bout de rang pour pouvoir faire entrer les amarres totalement dans le sol. Dans ces cas-là, la vigilance de l’opérateur qui surveille le déroulement et l’enroulement du câble doit redoubler et il doit débrayer très rapidement dès qu’il sent le moindre danger sous peine de basculer avec l’engin dans la pente. « Sur les 50 personnes qui travaillent en haute saison dans l’entreprise, seuls les plus endurants peuvent assurer cette tâche. C’est un travail à 5 000 calories par jour ! Dans l’équipe, les postes tournent. Impossible d’être une journée complète à monter et descendre les rangs », résume Fabien Bergeron.

Deux à trois passages par an

Il faut 80 à 100 heures de travail pour un travail du sol sur un hectare. « En fonction de l’état du sol et du salissement, nous passons l’outil une, deux ou trois fois dans le même rang. Et en général, nous faisons deux à trois passages par parcelle sur la saison, en fonction de la climatologie : pendant l’hiver, nous effectuons quelques buttages/débuttages qui facilitent ensuite le travail pendant l’année, mais cette pratique est marginale, car elle favorise aussi l’érosion sur nos sols en pente. Le travail le plus courant est le griffage des sols, avec une charrue équipée de griffes à l’avant et de pattes d’oies à l’arrière », indique Gamal Menacer.

Le coût moyen de la prestation de l’entreprise Alatache est de 25 euros/heure soit environ 2 000 € HT/ha pour un passage d’entretien du sol dans les vignes en terrasses et en pente du nord rhodanien.
 

 

Article paru dans Viti Leaders de septembre 2018 

01/10/2018 - 16:12

Il a conçu une machine à vendanger de 1,5 tonne

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Équipement

Il a conçu une machine à vendanger de 1,5 tonne

Il a conçu une machine à vendanger de 1,5 tonne. © F. Roussel/Pixel Image

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Entre le gigantisme hypersophistiqué des grosses automotrices et la vendange manuelle, il y a un monde… Mais la gestation d’une automotrice ultracompacte approche du terme et le marché pourrait bien voir émerger un nouvel acteur. Le choix des faire-part approche dans le Beaujolais, voici les résultats de la dernière échographie.

 

Pour Lucien Nugues, fils de viticulteur, l’origine du projet réside en grande partie dans le respect du grain de raisin. Avant d’expliquer comment porter le soin maximal à la grappe, il pose un postulat mécanique simple : « Il faut très peu de puissance pour taper un cep, convoyer la récolte et extraire les feuilles. Si nous faisons le bilan de tout ça, il nous faut 20 chevaux. Le reste de la puissance sert à déplacer la machine. » Lorsqu’elles pèsent six tonnes ou plus, il n’est pas incohérent d’équiper les vendangeuses conventionnelles de moteurs de 130 chevaux. Le passé industriel de cet ancien dirigeant des établissements Balligand transpire dans l’analyse.

Face à ce constat et dans le contexte singulier du Beaujolais, l’envie de créer une petite machine était aussi la base d’un cercle vertueux. Le concepteur détaille : « Nous avons conçu une vendangeuse de 1 500 kg. Même à 30 % de pente, avec une vitesse de 2-3 km/h, il ne faut que 10 chevaux pour déplacer cette masse. » La machine, légère, affiche un atout indéniable quant au respect du sol. De même, nous pouvons parler d’efficience accrue quand nous constatons sa sobriété en carburant. Le petit moteur de 35 ch est en mesure d’accomplir une journée de travail avec 35 litres de gasoil. Bien entendu, la comparaison avec des automotrices à quatre roues et aux capacités supérieures n’est pas tenable. Le nombre d’hectares récoltés n’est pas le même mais la performance reste remarquable pour tout vigneron qui n’a pas besoin de mener ses vendanges tambour battant. Selon Lucien Nugues, « lors d’une petite journée de vendange, la machine récolte 2,5 ha facilement. Elle n’est pas pensée pour faire 10 hectares par jour mais plutôt pour convenir au vigneron qui recherche les conditions climatiques favorables et la meilleure maturité. Ce n’est pas pour faire de l’abattage ».

 

Dans les vignes étroites

Construite avec le concours de MGV, la petite automotrice n’a pas été prévue pour une homologation routière. Elle se déplace donc sur une remorque. Un point négatif qui prend, dans certaines conditions, les traits d’un avantage. Le véhicule léger qui la remorque atteint les 80 km/h sur nos routes de campagne quand une automotrice plafonne à 25 km/h. Il suffit de quelques minutes pour le chargement/déchargement.

Chaque roue est pilotée par un vérin  de 300 mm pour compenser les dévers. © F. Roussel/Pixel Image Dans les vignes étroites d’un mètre, en fin de rang, l’opérateur n’a pas de mal à faire le demi-tour et à reprendre le rang suivant. En effet, grâce à une conception à trois roues, l’engin tourne autour de la roue gauche qui agit comme un point de pivot. Il faudra néanmoins penser à démarrer la parcelle dans un certain sens, car le demi-tour sur place est bien plus rapide dans un sens que dans l’autre.

Les concepteurs n’ont rien laissé au hasard concernant la partie motrice. Un œil avisé remarquera un capteur d’angle de braquage positionné dans la partie droite de l’outil. Il est au cœur de la maniabilité de la machine : « Quand on tourne le volant, les roues extérieures (directrices) renseignent un potentiomètre sur leur position par rapport à l’avancement en ligne droite. De cette information, un calculateur commande une augmentation ou une réduction du débit des deux moteurs hydrauliques qui gèrent l’avancement. » De plus, la sécurité est accrue grâce à la roue de pivot. « Elle n’est jamais mise dans un état de roue libre, précise Lucien Nugues. Il reste du couple et de la traction même quand elle roule très peu lors des manœuvres en bout de rang. » Les différents essais, sur le domaine du château de l’Éclairà la Sicarex, ont montré que les moments de patinage sont très rares, quelles que soient les conditions.

Les roues du côté droit  de la machine sont motrices  et directrices. © F. Roussel/Pixel Image Malgré la compacité de la vendangeuse, un système qui compense le relief a été intégré. Lucien Nugues explique : « Nous avons prévu un vérin par roue avec une course de 300 mm. Le chauffeur corrige l’assiette latéralement et longitudinalement. » Réussir à placer ces éléments était un défi compliqué par le souhait d’abaisser au maximum le centre de gravité. Le moteur et les réservoirs (huile et carburant) se situent donc au plus près de la roue du côté gauche. La partie électronique est située sous le siège du chauffeur, qui a devant lui le tableau de bord avec toutes les commandes. La correction de dévers passe par un mono-levier. La surveillance des pompes hydrauliques est possible grâce à un petit moniteur qui affiche prioritairement la vitesse et la fréquence des batteurs.

 

Cueillir le raisin sans bavures

La volonté de récolter avec le plus grand soin était un leitmotiv. Nous retrouvons donc un secoueur à bâtons rigides monté sur silentbloc. Il est issu de l’expérience de Pierre Germain (viticulteur et concepteur de machines). Dans les années 1980, ce dernier avait mis au point un secouage pour récolter mécaniquement en grappe entière. Après ce premier organe, l’accent a été mis sur la réduction du temps de convoyage. « La plupart des grosses automotrices provoquent une trituration du raisin. Les enchaînements de tapis et les chutes ne lui rendent pas la vie facile avant la trémie, constate Lucien Nugues. Nous avons voulu faire une partie récolte la plus simple et donc la plus respectueuse possible. » Ainsi, le fruit parcourt environ deux mètres dans les godets de la noria en L. Il tombe sur un petit tapis qui verse dans le bac, situé sur le côté droit de la machine. Le tapis est mobile et peut répartir la récolte sur la longueur du bac. Ce dernier bascule vers l’avant et peut atteindre 500 kg de capacité.

Un extracteur de feuille est placé à la chute du raisin de la noria sur le tapis. Le second extracteur est posé en bout de tapis, avant la chute  dans le bac. © F. Roussel/Pixel Image Le convoyage du raisin paraît simple, a contrario la mise au point du nettoyage a nécessité de nombreuses corrections lors des essais menés avec la Sicarex. La position et l’angle des turbines ont été compliqués à trouver. Les feuilles sont extraites grâce à deux ventilateurs. Le premier agit au moment de la chute sur le tapis. Le second expulse les débris restants en fin de tapis.

Les spécialistes de l’hydraulique apprécieront la présence d’une pompe par fonction. Ainsi, la noria, les ventilateurs, le secouage ne sont pas tributaires des inconvénients des diviseurs. La correction du dévers et l’animation du bac sont connectées à la même pompe que la fonction de direction. Cette dernière est raccordée par un circuit prioritaire. La maintenance et le lavage sont des aspects qui n’ont pas été mis de côté. Nous ne trouvons que dix graisseurs. Le lavage dure quinze minutes et ne demande pas plus d’une centaine de litres d’eau. Cette petite vendangeuse constitue, sans aucun doute, une bonne illustration de l’artisanat de pointe français. Grâce à quelques passionnés, amoureux du travail bien fait, nous avons un nouvel exemple qui ne sort pas d’une start-up ! Pour s’offrir les services de cette automotrice atypique, il faudra investir moitié moins qu’une machine conventionnelle. Rendez-vous en 2020 pour compter les exemplaires en service et récolter vos témoignages, si vous sautez le pas !

 

Viti Leaders de novembre-décembre 2018

Article paru dans Viti Leaders de novembre-décembre 2018

05/11/2018 - 18:05

Viti vous donne rendez-vous lors du Salon Vinitech-Sifel 2018

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PROFESSIONNELS DE LA VIGNE AU VIN

Viti vous donne rendez-vous lors du Salon Vinitech-Sifel 2018

Le Salon Vinitech Sifel se déroulera la semaine prochaine du mardi 20 novembre au jeudi 22 novembre 2018 à Bordeaux. Une bonne occasion de venir découvrir le magazine Viti et son site Web www.mon-viti.com, de rencontrer nos équipes, nos experts et partenaires !
 
Rendez-vous sur notre stand : Hall 1 - Allée C - Stand 1709.
 
 
 

Dégustations thématiques

 

 

 

 

 

Pendant le salon votre magazine Viti et ses experts organisent des "dégustation thématiques" :tchin_imagesia-com_wzdd.png

C'est une discussion sur un thème donné avec une dégustation. C'est un moment convivial et professionnel. Vous apprendrez sérieusement autour d'un verre des "trucs et astuces" intéressants. 

Les dégustations thématiques de Viti, c'est donc un moment de partage et de retour d'expériences entre viticulteurs, avec nos experts, avec pour preuve, le vin dans le verre... à déguster sur le stand de Viti pendant le Vinitech.

#savethedate. Voilà le programme [gratuit et sur inscription] :

de 12h à 13h / Hall 1 - Allée C - Stand 1709

Pour s'inscrire, merci de remplir ce questionnaire en ligne et nous préciser s'il vous faut des invitations au Salon. 

 

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La rédac de Viti

14/11/2018 - 16:12

Piix, l’injection directe par Diimotion

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Pulvérisation

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Malgré de nombreuses années de R&D, aucun système d’injection directe ne s’est jamais vraiment imposé en viticulture. Diimotion y parviendra-t-il avec Piix ? Ce matériel, dont le prototype devrait être finalisé cet automne, comporte une cuve d’eau claire et plusieurs petites cuves de produits purs (2 x 20 l pour les liquides, 2 x 70 kg pour les poudres), un système de dosage et une console de pilotage (écran tactile). Lors de la pulvérisation, le système prépare des lots de « mini-bouillie », dans une petite cuve tampon (de quoi traiter 200 à 500 m2), qu’il envoie ensuite dans un point...

15/11/2018 - 14:45

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16/11/2018 - 14:51
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