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La France redresse la tête

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Déjà amorcé en 2017, le marché de l’agroéquipement devrait sortir de la crise et entrevoir des perspectives de croissance plus faste pour le commerce de machines agricoles selon Axema.

La France constitue le premier marché d’agroéquipement en Europe et tient la 3ème place dans la production européenne. Elle est aussi le 5ème acteur d’un marché des agroéquipements mondialisé. Plus d’un tiers des matériels de travail du sol européens sont fabriqués dans l’Hexagone. Jusqu’en 2016, la France avait le déficit le plus important de l’Union européenne et le 4ème au niveau mondial après le Canada, l’Australie et la Russie, juste devant l’Ukraine. Néanmoins, cette situation s’améliore en 2017 avec de bonnes performances à l’export, notamment sur les tracteurs et les matériels de vinification. Le marché français de l’agroéquipement (production - exportations + importations) en 2017 termine à 5, 1 milliards d’euros, en hausse de 1.1 %. Ce bon résultat vient surtout de la production française qui alimente le marché car les importations ont continué de se réduire de 5 % dans le même temps.

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Agroéquipement

La France redresse la tête

10/04/2018 - 11:20

Après la location, l’achat en commun

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Jusqu’à présent, la plate-forme WeFarmUp proposait de mettre en contact un propriétaire de matériel agricole et un locataire. Désormais, elle offre une autre prestation. CoInvest permet à deux agriculteurs de se rencontrer et de pouvoir diviser par deux un investissement en toute sécurité. C’est la plate-forme qui sélectionne des « agriculteurs de confiance » et les met en relation. Un audit de projet est réalisé pour diagnostiquer et objectiver le projet, le budget, le nombre de CoInvestisseurs optimal, les périodes d'usage du matériel, leur approche du matériel et leurs exigences dans l'utilisation. Le service proposera aussi un accompagnement à la structuration juridique du CoInvestissement.

 

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WeFarmUp

Après la location, l’achat en commun

11/04/2018 - 13:11

De la paille dans une chaudière tractée pour lutter contre le gel

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Gel

De la paille dans une chaudière tractée pour lutter contre le gel

Le Fog Drafon sera testé par Julien Grandieu si un épisode de gel se prépare (Julien Grandieu)

Après des pertes record en 2017 en raison du gel, Julien Grandieu, gérant des Vergers Grandieu à Grignoncourt (Vosges), a investi dans un Fog Dragon, un appareil tracté venu de Hongrie. « Nous sommes les premiers à acheter cet appareil dans l’Est de la France », indique Julien Grandieu.

Il a notamment été séduit par son coût d’achat – 10 000 € HT– et sa simplicité d’utilisation : une botte de paille alimente une chaudière à biomasse, pendant environ 5 h.

Une turbine aspire la chaleur et la fumée de combustion. Un échangeur enrichit ensuite la fumée avec de l’eau afin de l’alourdir. La fumée sort entre 50 °C et 60 °C. Comme elle est alourdie, elle se plaque au sol et reste sur 1 mètre d'après le constructeur. 

En termes d’efficacité, le constructeur Dolina Kft annoncerait une protection allant jusqu’à - 4 °C sur 10 ha. Mais ces résultats restent à confirmer.
Pour l’instant, l’arboriculteur n’a pas encore pu tester l’appareil dans des conditions réelles de gel.

Contact de Julien Grandieu : contact@vergers-grandieu.fr

Article paru dans L'Arboriculture Fruitère, avril 2018

18/04/2018 - 09:15

L’évolution du marché des tracteurs spécialisés

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Tracteurs vignerons

L’évolution du marché des tracteurs spécialisés

En 2017, 3 964 tracteurs spécialisés ont été vendus en France. Avec la hausse de ce marché, les constructeurs doivent répondre aux demandes des clients. Les marques du groupe SDF affichent leurs ambitions avec les dernières nouveautés présentées au Sitevi. Nicolas Bedrune, chef produits tracteurs chez Same Deutz-Fahr explique comment le marché a évolué.

 

Comment évolue le marché des tracteurs spécialisés ?

Nicolas Bedrune : Depuis cinq ans, le marché est en ascension. Il est passé de 3 387 en 2014 à 3 964 tracteurs immatriculés en 2017. Quand on parle du marché de tracteurs spécialisés...

19/04/2018 - 11:48

New-Holland pousse la nouvelle Braud 9090X dans ses limites

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Machine à vendanger

New-Holland pousse la nouvelle Braud 9090X dans ses limites

Machine à vendanger Braud 9090X  de New-Holland

Tour à tour, les constructeurs de machines à vendanger teste les performances de leurs matériels. Récemment, c'est New-Holland qui a repoussé les limites de sa dernière machine. 

La nouvelle Braud 9090X avec égreneur-séparateur et convoyeur latéral a permis de réaliser un record de vendange en 8 heures: 197,6 tonnes de raisins récoltés, égrenés (cépage syrah) ce qui correspond à près de 200 000 bouteilles.

Cela correspond aussi à un rendement moyen de près de 24,7 tonnes de raisin/heure.

La nouvelle Braud 9090X

Le constructeur annonce un taux de MOG (Matériaux autres que le raisin) de 1,0 % et une consommation de carburant de  0,99 litre par tonne récoltée.

L'équipe New-Holland a par ailleurs détaillé le protocole de l'expérience. 

La Braud 9090Xutilisée pour le test était équipée d'un nouvel égreneur-séparateur et d'un convoyeur latéral permettant une récolte ininterrompue dans les vignobles à haut rendement. 

Le test de performance s'est déroulé le 21 mars 2018 à Waikerie, dans le Sud de l'Australie, sur une parcelle de sept hectares de cépage rouge. Alors que les cépages blancs donnent généralement des rendements supérieurs, New Holland a ciblé un cépage syrah pour se concentrer non seulement sur la capacité, mais aussi sur la qualité de l'échantillon.

20/04/2018 - 15:49

La rampe premier traitement de Calvet

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25/04/2018 - 14:38

Lors des rencontres rhodaniennes organisées par Inter-Rhône en avril 2018, l'entreprise française Calvetprésentait sa rampe de pulvérisation adaptée pour les premiers traitements quand la végétation de la vigne est peu développée. 

Elle est équipée de quatre ou six buses. La rampe est associée à une cuve portée. 

Coût : environ 2 500 euros

Dans le guide en ligne IFV-Irstea sur la pulvérisation et les réglages, le matériel est décrit de la façon suivante:

En vignes larges, il existe des matériels à jet projeté spécifiques aux traitements de début de végétation appelés "rampe premiers traitements".

Le principe de fonctionnement est le suivant : une ou deux hauteurs de buses à injection d’air se font face et pulvérisent le cordon, le tout étant suspendu à un portique. Deux rangs sont traités par passage. Il s’agit de matériels de construction très simple et peu onéreux.

À ce jour, peu de constructeurs proposent ce type de matériels qui présente le double avantage d’être très simple techniquement et d’être très efficace en début de végétation en réponse aux enjeux de réduction des quantités d’intrants et des risques de dérive

Rampe premier traitement Calvet (S.Favre/Pixel Image)

Lors de l'événement, d'autres constructeurs étaient présents comme Grenier Franco et Hervé et Mauricio(France-Espagne). Un distributeur de ce dernier constructeur présentait la poudreuse de l'entreprise et un cadre de travail du sol.

Poudreuse pour vignes Hervé et Mauricio (S.Favre/Pixel Image)Cadre pour le travail du sol en vigne Hervé et mauricio (S.favre/Pixel Image)

 

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Pulvérisation

La rampe premier traitement de Calvet

Il a modifié son épandeur à engrais pour faciliter la fertilisation de ses vignes

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Jérémy Giroud

Il a modifié son épandeur à engrais pour faciliter la fertilisation de ses vignes

Jérémy Giroud est viticulteur dans le Beaujolais. Épandre de l’engrais dans cette région, aux parcelles souvent escarpées, n’est pas toujours chose aisée. Pour se simplifier la tâche, il a remplacé la chandelle de son tracteur par un vérin.

Remplacer une chandelle par un vérin pour donner un angle supplémentaire à son épandeur d’engrais, il fallait y penser et Jérémy Giroud l’a fait. Ce viticulteur possède une exploitation au Perréon, en plein cœur de l’appellation beaujolais-villages. Avec ses parents, il cultive dix-huit hectares de vignes dans un vignoble difficile à mécaniser.

Dans ce...

26/04/2018 - 14:21

Le désherbage électrique dans les vignes sera-t-il une alternative au glyphosate?

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Machinisme

Le désherbage électrique dans les vignes sera-t-il une alternative au glyphosate?

Cet article de Viti Leaders d'avril 2018 vous est proposé gratuitement et dans son intégralité. Bonne lecture ! Pour vous abonner, RV sur notre e-kiosque.

Suite aux annonces faites par le gouvernement, le glyphosate pourrait être amené à disparaître. Pour faire face aux demandes des agriculteurs, le groupe Zasso a mis en place une solution de désherbage électrique, assurant une action racinaire. Des essais ont été réalisés en 2017 pour tester l’impact de l’électricité sur la faune et la flore.

Désherber des adventices avec de l’électricité vous paraît complètement improbable ? Pourtant le groupe Zasso a développé une alternative aux désherbages mécanique et chimique. Depuis plusieurs années, le constructeur suisse a mis en place un prototype d’une solution électrique pour lutter contre les adventices : l’Electroherb. « Ce système offrira une option supplémentaire efficace et durable dans la plupart des segments agricoles, comme le domaine viticole et les grandes cultures, explique Benjamin Ergas, l’un des directeurs du groupe Zasso.

« La machine est basée sur un circuit fermé et se compose d’un générateur et de deux rangées d’applicateurs fonctionnant comme deux pôles. Ils sont fabriqués en acier inoxydable flexible et conducteur pour entrer en contact avec les plantes et assurer le circuit électrique, explique Benjamin Ergas. Si le couvert végétal est irrégulier, au moins un des applicateurs est conçu pour permettre un contact direct avec le sol, afin de s’assurer que le circuit électrique se referme en toute sécurité. Le deuxième applicateur peut être ajusté à hauteur variable, en fonction de la hauteur des plantes. Les supports isolants sont fabriqués en polymère ferme mais élastique. Les isolateurs empêchent l’électricité de s’écouler inutilement dans le sol qui est très conducteur, protègent les petites plantes censées rester en place contre tout contact accidentel, et suppriment les étincelles. Ces isolateurs protègent également les organismes du sol. »

Des largeurs variables

La largeur de la machine varie selon l’utilisation. Les applicateurs individuels et interchangeables ont une largeur de 5 à 40 cm et peuvent être combinés pour obtenir une plus grande largeur de travail. « Le courant électrique traverse les feuilles et les tiges jusqu’aux racines, pour éclater les vaisseaux des plantes ce qui les dessèche en quelques minutes. L’Electroherb utilise une génératrice directement reliée à l’arbre moteur d’un tracteur ou d’un porteur similaire. Dans le cas de grands systèmes ou de véhicules insuffisamment motorisés, un générateur d’énergie séparé peut être utilisé », détaille le groupe suisse.

L’Electroherb a moins de contraintes d’humidité que les herbicides chimiques. Pour que l’électricité puisse impacter les plantes au lieu de se dissiper en surface, celles-ci ne doivent pas être remplies d’eau. « Comme les effets du traitement se produisent instantanément, une pluie après une application ne fait aucune différence, contrairement à l’application d’herbicides chimiques. La machine travaille à une puissance optimisée. Lorsque le circuit électrique est fermé, la puissance maximale disponible pour l’applicateur circule à travers les plantes. Selon la largeur et la hauteur de la plante, cette valeur peut varier entre 0,1 et 1 kJ ou 0,03 et 0,3 Wh par plante. Le courant électrique traverse la plante et endommage donc les faisceaux vasculaires, jusqu’aux racines », décrit Zasso.

Quels impacts pour la faune du sol ?

Des temps de contact compris entre 0,01 et 1 seconde sont suffisants, en fonction de la taille de la plante. Les plantes plus grosses sont par définition en contact plus longtemps. Le tout est un compromis entre la vitesse d’avancement, le temps de contact et le type de plante. « Sur les chantiers la vitesse d’avancement varie entre 3 et 5 km/h. L’idéal est d’atteindre des vitesses de 6 à 10 km/h. Concernant la consommation en carburant, elle varie en fonction de la densité de la plante puisqu’elle demande plus d’énergie et plus de temps d’application. Un passage nécessite 5 à 20 l/ha de carburant, et dans les cas extrêmes avec des plantes de très grande taille jusqu’à 30 l/ha de carburant. Comme le sol n’est pas déplacé et que l’Electroherb agit sur les plantes, il n’y a normalement que 1 à 3 traitements par an, pas plus que pour la lutte chimique. »

Quant aux conséquences pour la faune présente dans le sol et la végétation, « l’impact est très limité, affirme Zasso. Les essais effectués en 2017 ont démontré qu’ils n’ont pas d’effets significatifs sur les vers de terre, et autres micro-organismes ». Les études menées par des organismes indépendants n’ont constaté aucune répercussion sur la vie du sol. Seul un voltage trois fois plus puissant peut nuire à la faune. Les études seront révélées au cours de cette année.

Article paru dans Viti Leaders d'avril 2018

 

04/06/2018 - 15:23

Salon suisse Agrovina: les équipements qu'il ne fallait pas rater

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Innovations

Salon suisse Agrovina: les équipements qu'il ne fallait pas rater

À la conjonction des cultures viticoles italienne, germanique et française, Agrovina à Martigny, dans le Valais suisse, constitue toujours un Salon viticole aux tendances extrêmement innovantes pour la viticulture en pente. Et voici venir la motorisation électrique en attendant des batteriesplus performantes et moins onéreuses au graphène…

Même si les majors de l’agrochimie sont historiquement bien représentés à Agrovina, Suisse oblige, les solutions biologiques semblent poindre dans la filière viticole helvète. Comme au Viteff en Champagne, l’œnologie s’interroge sur les alternatives aux...

07/06/2018 - 09:58

Le Frutteto doté de la CVT

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Tracteur vigneron

Le Frutteto doté de la CVT

Same élargit sa gamme de tracteurs spécialisés avec le nouveau Frutteto CVT S. Le constructeur italien confirme ses ambitions en équipant le Frutteto d’une transmission à variation continue. De plus la cabine a été revisitée de A à Z.

 

L’accent a été mis sur le confort de l’utilisateur et se traduit par la rénovation de la cabine. Grâce à la transmission CVT, la structure de la cabine ne surmonte plus la boîte de vitesses. Par conséquent, elle offre un plancher plat avec plus d’espaces pour les jambes. Côté conduite, 3 modes sont disponibles : manuel, automatique ou priorité au régime moteur. La cabine se veut compacte et regroupe la majorité des fonctions sur l’accoudoir MaxCom et le joystick. L’accoudoir multifonction, intégré au siège du conducteur, s’oriente pour optimiser la prise en main. Le joystick gère les différentes fonctions hydrauliques. Toutes les commandes sont identifiées selon la "logique des couleurs" du groupe SDF. Le tableau de bord central a aussi été complètement redessiné. Il suit les changements de position de la colonne de direction pour que le conducteur puisse voir toutes les commandes. Le système de suspension indépendant des roues avant (ActiveDrive) est disponible en option sur tous les modèles. On retrouve un mode automatique de l’enclenchement du quatre roues motrices ainsi que le SDD pour diminuer le nombre de tour de volant d’une buté à l’autre. Le rayon braquage est de 60 degrés soit 3 m.

Outre le confort de conduite permit par la CVT, la nouvelle cabine offre plus de sécurité. Elle est homologuée "Classe 4". En mode "par défaut", la cabine filtre les poussières. Lorsque l’utilisateur passe en mode pressurisé, le flux d’air est filtré par le dispositif monté à l’arrière de la cabine. Elle est disponible, en option, d’usine pour protéger efficacement le conducteur lors de l'épandage des produits phytosanitaires. Ce dispositif peut être surélevé pour avoir une visibilité plus haute vers lors de la manipulation de charges en hauteur. La cabine repose sur 4 suspensions Hydro Silent-Block.

 

Le Frutteto reçoit un moteur FARMotion de 3 cylindres de 2,9 l ou 4 cylindres de 3,8 l. La gamme s’étend de 90 à 115 ch et répond à la norme Stage III B. Concernant la transmission il est équipé d’une boîte T3500 CVT à variation continue. Le Frutteto possède quatre distributeurs arrière. Un cinquième est disponible en option. Sur la partie avant, il est possible de monter quatre distributeurs supplémentaires. Une ligne en simple effet et l’autre en double peuvent être reprise de l’arrière et amené vers l’avant. Les neuf distributeurs restent indépendants.

Le Frutteto accepte une charge maximale de 2,6 t sur le relevage arrière et 1,5 t sur le relevage avant. Une prise de force avant (1000 tr/min) est proposée en option. La prise de force arrière tourne en 540, 540 ECO et 1000 tr/min. Pour assurer les fonctions hydrauliques il reçoit une pompe Load Sensing avec un débit de 100 l/min. Une deuxième pompe de 42 l/min dédiée à la direction a été prévue.

 

Tous les composants du tracteur en version S sont regroupés sur 1,07 m de large et 2,40 m de hauteur. Le version S se déclinera en version V et F. Pour le moment la version CVT S est disponible à partir du mois d’octobre 2018. Le Frutteto est disponible au couleur de Deutz-Fahr et Lamborghini sous le nom de TTV ou VRT.

27/06/2018 - 17:14

« Pour qu’un traitement soit efficace, il faut réussir à atteindre la végétation ! »

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5 questions à… Matthieu Sabouret (JCM technologie)

« Pour qu’un traitement soit efficace, il faut réussir à atteindre la végétation ! »

Les panneaux récupérateurs connaissent un essor important depuis 5 ans, est-ce réellement efficace pour diminuer l’utilisation de produit phyto ?Matthieu Sabouret : C’est l’argument numéro 1 au moment de la vente : il va être possible d’économiser jusqu’à 35 % de produit par campagne. Mais selon moi, cet argument est à prendre avec des pincettes, car il sera compliqué d’amortir le surcoût lors de l’achat uniquement avec l’économie de produit. Surtout en prenant en compte le débit de chantier qui diminue et le temps de nettoyage qui augmente avec ce type d’appareil. De plus, la récupération...

17/07/2018 - 10:00

Un rolofaca trainé par un quad pour coucher les couverts et limiter le tassement du sol des vignes

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16/07/2018 - 11:23

La société alsacienne Gerber H&M propose d’équiper les quads de rouleaux rolofaca. Hubert Gerber détaille ce montage:

L'avantage du quad, avec ses quelque 300 kg, est qu’il tasse vraiment très peu le sol. S’il est équipé de pneus basse pression, il épouse parfaitement le sol. En plus, il y a un confort de conduite pour le chauffeur. La vitesse de travail est de 8 à 20 km/h, ce qui est très intéressant pour coucher les couverts très rapidement.

Côté montage, selon Hubert Gerber, le quad devra être équipé d'une mini-centrale hydraulique pour relever les roues servant à circuler sur route et chemin « car le poids du rolofaca est trop lourd pour y installer un vérin électrique. »

Le modèle pour quad est également adaptable sur les tracteurs vignerons.

Prix : en fonction de la largeur de travail. Devis auprès de l’entreprise.

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Gerber H&M

Un rolofaca trainé par un quad pour coucher les couverts et limiter le tassement du sol des vignes

Ils ont investi dans un pulvérisateur Bobard Poly Jet avec coupure de tronçons assistée par GPS

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Champagne Daniel Pétré & Fils (10)

Ils ont investi dans un pulvérisateur Bobard Poly Jet avec coupure de tronçons assistée par GPS

La rampe Poly Jet permet d’économiser 8 % de produit phytosanitaire dans les parcelles en pointes. © Étienne Pétré

Au sud de la Champagne, le domaine Champagne Daniel Pétré & Fils a investi dans un système de pulvérisation à la pointe de la technologie. Ce dernier est équipé d’une coupure de tronçons assistée par GPS pour allier viticulture de précision et économie.

 

Étienne Pétré, jeune vigneron à Ville-sur-Arce dans l’Aube, a fait le choix d’investir dans un pulvérisateur high-tech et haut de gamme en 2016. « Tout d’abord, je souhaitais avoir un enjambeur qui puisse répondre à mes attentes. Il devait monter sans problème les coteaux, dont 30 % ont un degré de pente supérieur à 37 %, être doté d’une...

25/07/2018 - 10:00

Le constructeur Hardi lance des panneaux récupérateurs

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Pulvérisation

Le constructeur Hardi lance des panneaux récupérateurs

Le constructeur Hardi a profité du dernier Sitevi pour présenter pour la première fois des panneaux récupérateurs qui viennent enrichir la gamme Optimus. © Hardi

Le constructeur Hardi a profité du dernier Sitevi pour présenter pour la première fois des panneaux récupérateurs qui viennent enrichir la gamme Optimus.

« À l’heure actuelle, ils ne sont disponibles que pour les machines de deux rangs/quatre faces, destinées à des vignes de 2 m et plus. Mais très rapidement, des modèles conçus pour des vignes plus étroites devraient apparaître, souligne Laurent Souchaud, inspecteur commercial Sud-Ouest pour Hardi. Les panneaux ont été conçus en polyéthylène, pour limiter le poids. Cette matière permet également de garantir la solidité de l’ensemble, tout...

24/07/2018 - 10:00

La nouvelle série R prête pour la Mother Regulation

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Antonio Carraro

La nouvelle série R prête pour la Mother Regulation

DR : Antonio Carraro

La nouvelle série R fait ses débuts sur le marché des tracteurs compacts. Elle respecte les paramètres des normes sur les émissions des moteurs diesel Stage 3B et du système d’homologation « Mother Regulation ».

Malgré l’introduction des filtres anti-particules, les encombrements et les dimensions des séries précédentes ont été maintenus. Avec une puissance unique de 98 ch, il y a sept versions disponibles, toutes avec le numéro 10900 (TRX, TRG, TGF, TTR, SRX, Mach 4 et Mach 2) pour distinguer la configuration du châssis ACTIOTM, châssis intégral oscillant AC, dans toutes les déclinaisons :...

08/08/2018 - 14:37

Une effeuilleuse électrique sur chenillard

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SAS Chayoux

Une effeuilleuse électrique sur chenillard

Depuis sa création la SAS Chayoux, petite entreprise champenoise, ne cesse d’innover pour faciliter le travail des vignerons. Avec un secteur d’activité basé sur la fabrication de matériels destinés à la cave et à l’embouteillage, l’entreprise s’est développée à l’export. Actuellement, elle vise le marché des agroéquipements viticoles et propose une effeuilleuse électrique taillée pour les petits vignobles.

La société SAS Chayoux, située à Champillon, entre Reims et Épernay, dans la Marne, a mis au point une effeuilleuse sur chenillard. Le constructeur champenois souhaite simplifier le...

27/08/2018 - 16:49

Le Château Sainte Roseline a installé un récupérateur de chaleur dans son chai

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DÉVELOPPEMENT DURABLE & ECONOMIES D’ÉNERGIE

Le Château Sainte Roseline a installé un récupérateur de chaleur dans son chai

Domaine particulier créé par le Pape Jean XXII et marqué par sept siècles de culture de la vigne, le Château Sainte Roseline est l’un des sites historiques les plus riches de Provence, à la fois site classé et cru classé. Visites de caves, dégustations, mariages, soirées de gala, concerts... il est également le lieu d'accueil d'une offre œnotouristique riche.

Parce que le Château Sainte Roseline a connu une forte croissance ces dernières années, plus de consommateurs, de collaborateurs, de production et de concurrence signifient également plus de responsabilités. C’est pourquoi le domaine a fait le choix d'un modèle de développement toujours plus durable, en placant la démarche Vignerons en Développement Durable au cœur de son projet d'entreprise. 

Les objectifs de cette démarche sont multiples :

  • trouver et partager des solutions pour préserver la planète ;
  • préserver les collaborateurs en termes de sécurité, bien-être et cohésion ;
  • développer les performances de l’entreprise sur le long terme ;
  • valoriser cette démarche auprès des parties prenantes externes (clients, fournisseurs, institutionnel etc) ;

Aujourd'hui en conversion pour l'obtention du label, le Château Sainte Roseline fait partie des trois premiers domaines particuliers ayant fait le choix de Vignerons en Développement Durable pour son engagement RSE.
 

La réduction de la consommation d'énergie et 44 000 tonnes de CO2 en moins

Désireux de réduire ses consommations d'énergie, le château a fait installer début 2018 un récupérateur de chaleur, positionné sur le compresseur d'air du chai.

Le récupérateur permet d'exploiter une source de chaleur jusqu'alors dispersée dans l'air et de préchauffer l’eau de la cave.

En effet, le principe est le suivant :

  1. l’énergie utilisée par le compresseur pour comprimer l’air se transforme en chaleur ;
  2. la majeure partie de cette chaleur (plus de 90 %) reste dans l’air comprimé et dans le lubrifiant du compresseur (l’huile) ;
  3. un récupérateur de chaleur est installé sur le circuit d’huile, permettant de récupérer en moyenne 75 % de l'énergie pour chauffer de l’eau glycolée, permettant elle-meme de préchauffer l’eau de deux ballons ;
  4. la chaleur récupérée permet ainsi de préchauffer à 60 °C : un ballon de 1 000 litres pour la cave et un ballon de 1 000 litres pour la ligne de conditionnement.

Le retour sur investissement est estimé à un an, en comparaison avec l’installation existante. Par ailleurs, le dispositif permet des gains en énergie, et la réduction des émissions de C02 de plus de 44 000 tonnes. 

Un bel exemple d'action qui permet de faire rimer économies et écologie !

Récupération d'énergie

47 880

kWh/ an

Gain en eau chaude

748 677

L / an à 75 °C 

Gain économique potentiel

4 353

€ / an

Réduction émission CO2

44 145

tonnes/ an

Retour sur investissement

12

Mois

 

06/09/2018 - 11:53

Une nouvelle gamme de tractées et un enjambeur avec tête de récolte chez Pellenc

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Vendange

Une nouvelle gamme de tractées et un enjambeur avec tête de récolte chez Pellenc

Pellenc (254 M€ de CA, 1 600 salariés) a présenté trois nouveautés à son réseau et à la presse le 4 septembre. Outre l’enjambeur Optimum 340 et sa tête de récolte, prévus pour les vignes étroites, le constructeur vauclusien a entièrement revu sa gamme de machines à vendanger tractées. La précédente refonte datait de 2008.

Des tractées pour toutes les bourses

La nouvelle gamme, baptisée Grapes’ line, compte cinq modèles, du plus simple au plus sophistiqué. Les prix s’échelonnent en conséquence de 55 000 à 119 00 € HT. Les modèles 40 et 45 sont prévus pour pouvoir être attelés à des tracteurs basiques. La 60 constitue un bon rapport qualité-prix, les 70 et 80 constituant le haut de gamme. Toutes ces machines sont conçues pour vendanger des vignes à partir de 1,40 m de large.

Les différences entre les modèles se situent essentiellement sur les équipements de tri de la vendange, le pilotage et les capacités des bennes.

À partir du modèle 60, la machine se pilote à l’aide d’un joystick qui gère 18 fonctions. La manette peut être complétée par un écran de visualisationà installer où on le souhaite dans la cabine, sur un support boule, pour une meilleure visualisation.

Pour le tri de la vendange, l’équipement se compose de deux ventilateurs pour les modèles de base, tandis que les modèles supérieurs sont pourvus d’un trieur complémentaire (combinant les actions d’un tapis à claire-voie et d’un aspirateur) ou du Selectiv process, le trieur-égreneur de la marque. Ces modèles bénéficient en outre d’une plateforme sécurisée munie d’un joystick déporté pour faciliter l’entretien.

Nouveau plastique pour les secoueurs

Pour tous les modèles, les secoueurs bénéficient d’un nouveau plastique plus résistant à l’abrasion. Leur forme nervurée a été étudiée pour améliorer la tenue dans le temps. Les machines peuvent  accueillir jusqu’à dix paires de secoueurs, pour s’adapter à la hauteur de la zone fructifère qui peut varier très largement selon les régions.

Les Grapes’ line conservent le système de motricité autotorque, déjà présent sur la gamme 8000 : les roues sont munies de moteurs hydrauliques qui vont pousser ou freiner la machine selon les indications du capteur situé dans le timon, soulageant le tracteur en montée. Par ailleurs, les Grapes' line sont compatibles avec le freinage double ligne (qui sera obligatoire en 2019).

Un enjambeur multifonction

L’autre grande nouveauté présentée par Pellenc le 4 septembre est destiné aux vignes étroites (de 0,90 m à 1,50 m de large) : après à la reprise des établissements Lauprêtre (71), Pellenc avait rapidement sorti l’Optimum 330. L’Optimum 340, qui prend sa suite, constitue une version plus aboutie, qui intègre les technologies de la marque pour un confort de conduite amélioré.

La cabine se veut "grand confort" : les montants  ont été reculés, pour une vision panoramique agrandie. Un large accoudoir accueille un joystick. Le siège est pneumatique, avec détection du poids, chauffage, réglage lombaire… L’accès se fait par une plateforme sécurisée, via une échelle qui se replie automatiquement au démarrage de l’engin.  Les aides à la conduite, comme l’affichage instantané du dévers, sont nombreuses. Un écran vidéo peut afficher jusqu’à 4 caméras, dont une est fournie de série.

Côté motorisation, cet enjambeur compact (2,60 m d’empattement pour 3,83 de longueur) embarque un moteur Deutz de 156 ch, homologué T4, spécialement redesssiné pour ne pas dépasser 60 cm de large.

La tête de récolte, quant à elle, porte la longueur totale à 4 m, ce qui reste raisonnable pour manœuvrer. Malgré sa compacité, elle dispose d’un système de tri performant. Le cône d’entrée de la végétation mesure 500 mm, tandis que les convoyeurs sont espacés de 220 mm pour laisser passer les plus gros ceps. Comme dans les Grapes’ line, le lavage est facilité par la présence de commandes déportées et d’une colonne d’eau.

Le prix de ces équipements commence à 140 000 € pour l'enjambeur et 80 000 € pour la tête de récolte.

 

10/09/2018 - 10:58

Le palmarès des Trophées de l'Innovation Vinitech-Sifel dévoilé

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Le 6 septembre, le jury d'experts des Trophées de l'Innovation Vinitech-Sifel réuni à Bordeaux, a décerné le Palmarès 2018 réservé aux équipements, process ou techniques novateurs des exposants, toutes filières confondues. Après expertises et délibération, 16 prix ont été décernés parmi une soixantaine de dossiers en lice :

1 Prix Spécial du Jury

Le Prix Spécial du Jury, attribué à la société DIIMOTION (cat. Techniques culturales) pour encourager le développement de son innovation PIIX d'injection directe de produits phytosanitaires pour pulvérisateurs

6 Trophées d'Argent

Catégorie : Fruits & légumes, la société CBC BIOGARD, primée pour le premier produit de confusion sexuelle pour la tomate sous serre.

Catégorie : Techniques culturales

  • ERTUS se distingue avec Exapta, un logiciel (OAD) permettant d'assister le viticulteur dans la planification des travaux viticoles, et essentiellement les traitements phytosanitaires.
  • INFACO est primée pour son dispositif supplémentaire de sécurité "wireless" pour sécateur électrique, DSES Wireless.

Catégorie : Vigne et Vin

  • La société CITF propose un système robotisé très innovant de tri de la vendange baptisé procédé ALIEN.
  • La société INTRANOX a présenté un système écologique de gestion de cave automatisé, Oreste0.
  • La société LAMOUROUX a développé la solution innovante E2 pour améliorer l'efficacité énergétique des chais vinicoles.

 

9 Trophées de Bronze

Catégorie : Techniques culturales

  • La société allemande BRAUN MASCHINENBAU GmbH récompensée pour VPA : Vineyard Pilot Assistant.
  • KARNOTT et son compteur connecté qui simplifie le suivi des interventions agricoles.
  • La société VITIBOT et son robot viticole 100% électrique et 100% autonome, Bakus.

Catégorie : Vigne et Vin

  • La société BUCHER VASLIN propose Delta Evolution 2, un concept d'éraflage optimisé et de tri de la vendange encore plus respectueux des cépages les plus fragiles.
  • La société CHALVIGNAC présente une « thermofrigopompe » multifonction avec 2 échangeurs coaxiaux :Cryoflex 4 tubes.
  • D-INNOVATION a dévoilé Hekinox, un robinet de prise d'échantillon conçu spécifiquement pour le secteurvinicole.
  • Développé par FORCE A, le Bacchimeter est un capteur piéton connecté permettant de mesurer directement à la parcelle la quantité d'anthocyanes contenue dans la pellicule raisin.
  • Les Barriques éclat Hydro céramique développées par VINEA SAS sont issues d'un nouveau processus de fabrication qui consiste en une imprégnation d'eau vivifiée sous forme de vapeur de la coque de la barrique préalablement à une cuisson à cœur par céramique.
  • La société WINE & TOOLS est récompensée avec Wine Donut : système de « ballon gonflable » à insérer dans les cuves durant la vinification ou l'élevage pour gérer l'espace de tête et éviter ainsi l'oxydation.

14 Citations

Catégorie : Techniques Culturales

  • LINDNER GmbH : Lintrac avec Traclink Pilot pour guider le tracteur de manière autonome sans connexion aux satellites
  • PELLENC SAS : Attacheur électrique pour sarments de vigne avec batterie et dévidoir de liens intégrés
  • SAME DEUTZ FAHR FRANCE : Frutteto CVT S : nouvelle Version
  • MOLLIFICIO BORTOLUSSI SRL : Sécateur CESARE

Catégorie : Vigne et Vin

  • ADL BERTOLASO DIFFUSION : Monobloc d'encaissage BORTOLIN
  • CHENE SERVICES : Plateforme Chenox : outil d'aide à la décision pour l'élevage des vins en barriques
  • GAI France : Machine d'embouteillage type GAI MGF
  • MAUBRAC : Emballage carton destiné à la messagerie
  • PERA PELLENC : OenoSm'Art, équipement de thermovinification mobile utilisant la technologie flash détente
  • RAYTEC VISION SPA : DIONYSOS : trieuse haute qualité pour raisin à vin 12 t/h
  • SERAP INDUSTRIES : Cuvon de transfert vendange motorisé
  • SOCMA SAS : Le DENSIBAIE : dispositif de tri et/ou de séparation des baies en fonction de leur niveau de densité
  • VINVENTIONS SA : Bouchon SüBR Flor
  • BUCHER VASLIN : Delta Densilys
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Concours

Le palmarès des Trophées de l'Innovation Vinitech-Sifel dévoilé

10/09/2018 - 18:01

MDP 100, le semoir se fait pneumatique

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APV

MDP 100, le semoir se fait pneumatique

L’entreprise autrichienne APV diversifie sa gamme viticole avec le lancement commercial du semoir pneumatique MDP 100. La semence est transportée de la trémie vers les descentes avec une assistance d’air. Un boîtier de commande en cabine permet de réguler la vitesse de rotation des rouleaux doseurs.
Pour plus de précision sur la densité de semis, le semoir peut être relié à un capteur de vitesse d’avancement du tracteur (système DPAE).
Équipements de série : cuve de 105 litres, deux rouleaux de dosage pour mélange et petites graines, 6 déflecteurs, 25 mètres de tuyaux flexibles, boîtier
de commande…
Coût : 1 520 euros HT pour les équipements de série. Boîtier à partir de 475 euros HT pour un modèle basique.
En option : rouleau doseur adapté aux semences
de féveroles.

19/09/2018 - 16:45
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